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  • ALEXANDRE JUVING-BRUNET DÉVOILE L’ARME POUR RÉSISTER : LE FRANC LIBRE X | GPTV
    Jul 17 2025

    Le 16 juillet 2025, Alexandre Juving-Brunet était l’invité de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

    Offensive monétaire contre l’euro numérique

    Le capitaine Alexandre Juving-Brunet venait de franchir un cap stratégique : le Franc Libre devenait FLX, une crypto-monnaie adossée à l’or, aux métaux précieux et aux terres. Ce geste n’était pas qu’une innovation technique : c’était une déclaration de guerre à l’euro numérique, au contrôle bancaire centralisé et à la dépossession monétaire orchestrée par Bruxelles et la BCE.

    Le FLX ne cherchait pas à coexister : il voulait remplacer. Pensé comme une monnaie résistante, indépendante de tout système institutionnel, il se présentait comme une alternative radicale à une société financiarisée. À l’opposé d’un euro numérique programmable et opaque, le FLX promettait une valeur stable, enracinée dans le réel. Juving-Brunet avançait un contre-modèle structuré : refus de la spéculation, impossibilité de vendre en dessous du prix d’achat, émission strictement encadrée. L’objectif : rétablir un pouvoir d’achat sécurisé, à l’écart de la monnaie-dette.

    Le socle d’une société parallèle

    Le FLX s’inscrivait dans une stratégie globale : bâtir une société alternative affranchie des institutions en place. Juving-Brunet ne prônait pas une réforme, mais un remplacement du système. Dans sa version FLX, le Franc Libre devenait le carburant de cette contre-société, portée par les Comités de Salut du Peuple (CSP) et le parti Le Peuple de France (LPF). Réseaux locaux, monnaie autonome, relais politique : tous les piliers étaient posés.

    Chaque citoyen pouvait redevenir acteur économique, sans les banques ni l’État. La communauté s’organisait autour de valeurs comme la souveraineté, l’autonomie, la solidarité. L’économie parallèle se tissait dans les zones rurales, les circuits courts, les petits commerces. Une résistance active, détournant les flux, réinventant les échanges, construisant une légitimité propre. Le FLX devenait ainsi l’outil d’une contre-société en marche.

    Une stratégie risquée mais assumée

    Sur le plan juridique, Alexandre Juving-Brunet évoluait sur une ligne rouge. Déjà condamné à quatre mois de détention pour l’émission papier du Franc Libre, il relançait son projet avec encore plus d’audace. En optant pour une crypto, il sortait du radar bancaire, mais restait surveillé. Il accusait l’euro d’être un outil d’appauvrissement contrôlé, prédisait son effondrement, et préparait l’après.

    L’adossement à l’or n’était pas un simple symbole : c’était une réponse directe à l’inflation, aux manipulations monétaires, à la crise des monnaies fiat. Mais c’était aussi un pari. Hors cadre légal, le FLX risquait d’être attaqué sur les plans judiciaire, économique ou politique. Le système tolère mal les alternatives crédibles. Et celle-ci l’était.

    Le FLX se voulait une arme de rupture, maniée par un homme prêt à tout risquer pour refonder la souveraineté populaire. Juving-Brunet n’était pas suicidaire. Il était stratège. Et il avançait.

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    59 m
  • BAYROU VEUT SUPPRIMER 2 JOURS FÉRIÉS… DONT LUNDI DE PÂQUES ?! | GPTV
    Jul 17 2025

    Le 16 juillet 2025, Mike Borowski dévoilait comment François Bayrou orchestre une hausse d’impôts déguisée en supprimant deux jours fériés, tout en préservant les privilèges des élites politiques, des agences inutiles et des niches fiscales des journalistes.

    La suppression des jours fériés est une opération de camouflage fiscal

    La décision de François Bayrou de supprimer le lundi de Pâques et le 8 mai serait moins une mesure d'efficacité économique qu’un prélèvement fiscal indirect. Supprimer deux jours fériés revient à injecter artificiellement des heures de travail dans l’économie, ce qui augmente le PIB nominal et mécaniquement les recettes de CSG, d’impôt sur le revenu et de cotisations sociales. Sans vote, l’État collecte plus, en silence. Pour les élites, l’opération est indolore ; pour les travailleurs, c’est une perte nette.

    Ce choix traduit aussi une volonté de ne pas toucher aux dépenses les plus politisées. Aucun gel ni baisse des rémunérations des députés, sénateurs ou ministres. Pas de réduction des indemnités parlementaires ou des frais de fonctionnement des grandes structures étatiques. Tandis que la population perd deux jours de repos, les élites conservent tous leurs avantages. L’injustice est assumée et verrouillée.

    Aucune réforme des agences parasites ni des subventions clientélistes

    Le gouvernement n’a pas envisagé de réduction des agences publiques opaques comme l’ARCOM, le CNC ou les Hautes Autorités. Ces structures, souvent perçues comme des refuges pour proches du pouvoir, continuent d’engloutir des millions d’euros sans audit ni restructuration.

    Même tabou sur les subventions aux artistes, intermittents du spectacle ou associations culturelles. La niche fiscale journalistique, un abattement de 7 650 euros sur le revenu, demeure. Ce privilège coûteux, sans équivalent pour d’autres professions, est protégé. La presse, soutien essentiel du pouvoir, reste intouchable. Les efforts budgétaires ne concernent que les classes populaires.

    Aucune rationalisation du budget migratoire ni des aides internationales

    Autre angle mort du plan Bayrou : l’immigration. Aucun ajustement n’est prévu sur les milliards engagés chaque année en hébergement, allocations ou structures d’intégration. Le financement reste massif, sans conditionnalité, plafond ou contrôle. Toute critique est rejetée comme xénophobe, verrouillant le débat.

    Même opacité sur les aides au développement. Des milliards continuent d’être envoyés à des régimes corrompus au nom de la solidarité, sans évaluation sérieuse ni transparence. En pleine crise budgétaire, cette persistance idéologique passe pour un choix punitif : sacrifier deux jours fériés nationaux pour préserver un mondialisme coûteux. Le peuple paie, les dogmes restent.

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    29 m
  • NOUS RENTRONS EN GUERRE TOTALE CONTRE LA RUSSIE » | LA MATINALE GPTV
    Jul 17 2025

    Le 16 juillet 2025, Florian Philippot, Finn Andreen et Paul-Marie Coûteaux étaient les invités de La Matinale de GPTV, animée par Nicolas Stoquer.

    Florian Philippot, tête de liste des Patriotes pour les européennes 2024, est un acteur politique engagé pour la souveraineté nationale. Ancien eurodéputé, il a fondé son parti après avoir quitté le Front National. Il milite pour un Frexit par référendum.

    Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé en géopolitique et économie. Il est reconnu pour ses analyses sur les rapports de force mondiaux et intervient régulièrement dans les médias.

    Paul-Marie Coûteaux, directeur du Nouveau conservateur, est un homme politique et essayiste français. Ancien diplomate, il est l’un des principaux théoriciens du souverainisme en France.

    Pilliers bradés, souveraineté dissoute

    La France se serait méthodiquement dépouillée de ses instruments de puissance. En vendant la branche énergie d’Alstom à General Electric, elle aurait abandonné un levier industriel stratégique à une puissance étrangère. Ce choix politique aurait sacrifié l’indépendance énergétique au profit d’illusions transatlantiques. Depuis, la désindustrialisation s’accélère, les centres de décision quittent le territoire, et l’autonomie stratégique s’effondre.

    Même logique en Nouvelle-Calédonie, où l’État, au lieu de rétablir l’ordre républicain, se serait effacé, laissant place aux violences, tensions ethniques et à l’anarchie. Ce retrait signalerait un abandon de ses responsabilités ultramarines et un recul géopolitique dans le Pacifique, livrant le terrain à des influences concurrentes, notamment chinoises. La souveraineté ne serait plus défendue, mais démantelée.

    Dissidence éradiquée, morts suspectes

    Le système ne se contenterait plus de faire taire, il effacerait. Éric Denécé, analyste du renseignement, a été retrouvé mort en juin 2025 en Haute-Savoie. Officiellement, un suicide. Mais les incohérences s’accumulent, et le silence officiel inquiète. Un mois plus tard, Olivier Marleix, député gaullien, est retrouvé pendu à son domicile. Deux voix critiques réduites au silence.

    Ces morts ne seraient pas de simples coïncidences, mais les symptômes d’un climat où les contre-pouvoirs sont méthodiquement détruits. L’élimination de figures souverainistes devient une opération de neutralisation. Une purge silencieuse, au service d’un pouvoir qui ne tolère plus aucune dissonance. La mort devient outil de contrôle.

    Trump relance l’escalade, la paix s’éteint

    Donald Trump, de retour au centre du jeu mondial, aurait rompu avec son image non-interventionniste. Le 4 juillet, il propose à Zelensky des missiles capables de frapper Moscou. Quelques jours plus tard, il envoie ATACMS, Patriots et JASSM à l’Ukraine, exigeant de Moscou un cessez-le-feu sous menace de représailles économiques.

    Face à cette montée des tensions, la France resterait muette, paralysée par ses crises internes et discréditée économiquement. Absente du cercle stratégique, sa voix équilibrante manquerait. Neutraliser la France serait une condition pour laisser libre cours à l’escalade.

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    2 h y 38 m
  • “DÉVASTÉE” BRIGITTE MACRON CONTESTE LA VICTOIRE DE NATACHA REY SUR L’AFFAIRE TROGNEUX | GPTV
    Jul 16 2025

    Le 15 juillet 2025, Maître David Guyon était l’invité de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

    Maître David Guyon est un avocat spécialisé dans la défense des victimes, notamment dans les affaires de violences sexuelles. Il s’est fait un nom en défendant les droits des plus vulnérables, en particulier les enfants, et en s’engageant dans des affaires médiatisées de maltraitance.

    Une citoyenne traînée en justice pour avoir enquêté

    Natacha Rey n’est pas une agitatrice. C’est une citoyenne indépendante, déterminée à interroger les zones d’ombre d’un récit verrouillé. En 2021, elle publie une enquête minutieuse, fondée sur documents, photos et témoignages, posant une question taboue : qui est réellement Brigitte Macron ?

    Relayée sur Internet, son enquête se heurte aussitôt à l’appareil institutionnel. L’Élysée ne répond pas, mais engage des poursuites. La justice de première instance la condamne. En appel, elle est relaxée. Le tribunal reconnaît que ses propos relevaient de la bonne foi, et participaient d’un débat d’intérêt général.

    Brigitte Macron se pourvoit en cassation. Ce recours s’apparente à un acharnement, visant une femme affaiblie, mais déterminée à exercer son droit de douter. Ce n’est pas une faussaire face à la Première dame, mais une indépendante face à une figure du pouvoir.

    La liberté d’expression comme dernier rempart

    Ce jugement marque un tournant : il affirme que la liberté d’expression inclut le droit d’enquêter, de remettre en cause, d’alerter. Natacha Rey n’a jamais appelé à la haine ni à la violence. Elle a posé des questions, avec rigueur, là où beaucoup s’interdisent d’aller.

    En abordant le tabou Brigitte Trogneux, elle questionne la légitimité des zones interdites dans une démocratie. Le pouvoir espère que la Cour de cassation effacera ce précédent. Mais l’enjeu dépasse son cas : il s’agit de faire tomber un symbole, celui d’une femme qui ne cède pas.

    La justice a confirmé que ses démarches étaient fondées, méthodiques, sincères. Elle incarne cette génération de lanceurs d’alerte que le système veut faire taire.

    Une affaire révélatrice d’un système à bout de souffle

    Brigitte Macron affirme vouloir clore l’affaire, tout en la relançant en cassation. Cette contradiction interroge : si l’affaire n’est qu’un délire, pourquoi y consacrer tant de ressources ? Cette obstination traduit la peur de perdre le contrôle du récit.

    Natacha Rey devient, malgré elle, un symbole. Loin des médias dominants, sans réseau, elle incarne une rupture entre pouvoir et peuple. Ce n’est pas son message qui dérange, c’est son audace.

    La procédure vise à faire d’elle un exemple pour dissuader toute contestation. Mais plus elle est attaquée, plus son image grandit. Non comme détentrice d’une vérité, mais comme figure du courage. Et ce courage-là, lui, ne se juge pas.

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    57 m
  • EXCLUSIF : AU CŒUR DU PROCÈS BRIGITTE MACRON QUI FAIT TREMBLER LA MACRONIE | GPTV INVESTIGATION
    Jul 16 2025

    Le 15 juillet 2025, Mike Borowski vous proposait un reportage exclusif sur Géopolitique Profonde.

    Relaxe de Natacha Rey et Amandine Roy : la justice fracasse le tabou judiciaire

    Le 10 juillet 2025, la cour d’appel de Paris a relaxé Natacha Rey et Amandine Roy de toutes les accusations de diffamation intentées par Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux. Une décision historique qui ébranle le récit officiel et signe un tournant judiciaire majeur.

    Après des mois de pression et de censure, la justice reconnaît que leurs propos relèvent de la bonne foi et participent à un débat d’intérêt général. Ce jugement ouvre une faille dans le dispositif répressif de la Macronie.

    Cette décision valide une parole alternative longtemps décrite comme complotiste. Elle autorise désormais à interroger publiquement l’identité de Brigitte Macron et son lien passé avec Emmanuel Macron, son ancien élève au lycée La Providence. Ce qui relevait du tabou devient un sujet de discussion légitime.

    Une défaite stratégique pour l’État profond

    La relaxe de Rey et Roy désamorce l’un des outils préférés du pouvoir : la répression judiciaire de la dissidence. La diffamation cesse d’être une arme automatique pour faire taire les voix non conformes.

    Le tribunal affirme que la démocratie repose sur le droit de questionner, et non sur l’adhésion forcée au discours officiel. C’est un signal fort envoyé à ceux qui enquêtent sur les zones d’ombre du pouvoir.

    Lors du verdict, la mine déconfite des journalistes dominants en disait long. Le système médiatique, soutien fidèle du récit imposé, se retrouve bousculé. Cette décision, qui touche directement l’épouse du président, atteint le cœur du régime. Le pouvoir croyait cette affaire enterrée. Il l’a relancée.

    La brèche vers la reconquête

    Ce jugement crée un précédent. Parler de Brigitte Macron ne sera plus automatiquement sanctionné. La censure judiciaire recule, et avec elle, l’étau qui pesait sur la liberté d’expression.

    Cette victoire dépasse les seules prévenues. Elle rouvre un débat que beaucoup pensaient définitivement clos. Le climat de peur cède la place à une possibilité de reconquête démocratique.

    Ce qui s’est joué à Paris n’est pas une simple affaire de justice. C’est une victoire symbolique pour tous ceux qui refusent la soumission au politiquement correct. Le procès de Natacha Rey était celui de la liberté face au mensonge d’État. Il marque peut-être le début d’un tournant.

    Une brèche s’est ouverte. Elle ne se refermera pas. D’autres suivront. Le peuple sait désormais qu’il peut faire vaciller le récit officiel. Et cela change tout.

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    15 m
  • “L’HOMME EN NOIR” THIERRY ARDISSON MORT D’UN CANCER FOUDROYANT APRÈS AVOIR COMPARÉ GAZA À AUSCHWITZ | GPTV
    Jul 16 2025

    Le 15 juillet 2025, Mike Borowski revenait en direct sur Géopolitique Profonde sur le décès de Thierry Ardisson.

    Mort de Thierry Ardisson : une disparition brutale sans signe avant-coureur

    Thierry Ardisson est mort le 14 juillet 2025 d’un cancer du foie foudroyant. Deux mois plus tôt, il apparaissait encore en pleine forme sur les plateaux télé pour promouvoir son livre. Aucun signe, aucune annonce, aucune image d’hospitalisation.

    Puis, Audrey Crespo-Mara dément violemment la nouvelle sur X : « HONTE À VOUS ! NON, MON MARI N’EST PAS MORT. », visant le journaliste Clément Garin. Mais quelques heures plus tard, elle confirme officiellement son décès. Ce revirement interroge. Pourquoi nier avec tant de véhémence une information finalement exacte ? Ce n’était pas une fausse nouvelle, mais un différé de communication. Le but n’était pas la vérité, mais le contrôle du récit.

    Gaza-Auschwitz : la phrase qui a tout changé

    Le 11 mai 2025, sur le plateau de Quelle époque !, Ardisson réagit au témoignage du Dr Raphaël Pitti et déclare : « Gaza, c’est Auschwitz. Nos petits-enfants nous diront que nous savions et que nous n’avons rien fait. » Le président du CRIF, Yonathan Arfi, répond aussitôt : « Non, Thierry Ardisson, Gaza n’est pas Auschwitz ! »

    Face à la polémique, Ardisson présente ses excuses dans une lettre transmise à Maître Gilles-William Goldnadel et publiée sur X : « L’émotion était trop forte et mon propos exagéré. Je prie mes amis juifs de bien vouloir me pardonner. » Il rappelle avoir viré Dieudonné en direct, et participé à la Marche contre l’antisémitisme en novembre 2023.

    Mais ce mea culpa ne suffira pas. L’Arcom est saisie. Ardisson disparaît progressivement des écrans. Ce n’est pas une sanction, mais un effacement progressif. Sa dernière apparition publique date de cette émission. Deux mois plus tard, il meurt.

    Démenti, plainte et récit verrouillé

    Le 13 juillet, la rumeur court. Crespo-Mara dénonce sur X « l’ignominie » d’annoncer la mort d’un homme encore vivant : « Se croire autorisé à annoncer la mort d’un homme alors qu’il lutte encore, entouré des siens, c’est inhumain. » Elle promet une plainte contre le journaliste.

    Mais le 14 au matin, elle officialise la nouvelle. Ce retournement montre une volonté claire : maîtriser le moment, les mots, le message. Le problème n’était pas l’information, mais qu’elle soit dite sans autorisation.

    Ce qu’on sait, et ce qu’on ne dit pas

    Thierry Ardisson est officiellement mort d’un cancer du foie lié à une ancienne cirrhose. Sa femme confirme le diagnostic. Pourtant, des zones d’ombre demeurent : le démenti furieux, la plainte contre un journaliste qui disait vrai, le silence des chaînes où il avait tant brillé.

    Et surtout, le contexte. La phrase sur Gaza l’avait déjà marginalisé. Il avait franchi une ligne rouge. Deux mois plus tard, sa disparition survient dans une communication ultra maîtrisée. Ce n’est pas un complot. Mais c’est révélateur : dans l’univers médiatique, on ne meurt plus seulement de maladie — on meurt aussi de ses mots.

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    28 m
  • POUTINE SOUS PRESSION ? TRUMP DÉCIDE D’ARMER MASSIVEMENT L’UKRAINE ! | LA MATINALE GPTV
    Jul 16 2025

    Le 15 juillet 2025, François Martin, le Général Henri Roure et Sébastien Béraud étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC, de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Fort de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expertise sur plus de 100 pays, parle six langues et est reconnu pour ses analyses géopolitiques pointues.

    Le Général Henri Roure, officier-général issu des troupes de Marine, est Saint-Cyrien, breveté de l’École Supérieure de Guerre et Docteur en Science Politique. Candidat sur la liste ASSELINEAU-UPR-FREXIT pour les européennes 2024 (3e position), il publie Dieu n’a pas béni l’Amérique !, une analyse tranchante de la stratégie américaine.

    Sébastien Béraud est un agriculteur et éleveur laitier non syndiqué en Haute-Loire. Connu pour ses vidéos dénonçant la crise agricole française, il critique les prix de vente bas, les accords de libre-échange, la hausse des charges, la répression étatique et l’inaction syndicale. Il milite pour une réforme totale du système agricole et appartient à la Coordination Rurale.

    Trump relance la guerre en Ukraine avec missiles Patriot et sanctions contre la Russie

    Donald Trump, président en exercice, amorce un virage stratégique radical : les États-Unis s’engagent pleinement dans la guerre en Ukraine. Il abandonne tout discours pacificateur pour assumer une posture offensive. Il valide l’envoi de missiles à longue portée, réactive l’autorité d’urgence présidentielle et accélère la livraison de missiles JASSM, systèmes Patriot et drones tueurs. Là où Biden avait hésité, Trump franchit toutes les lignes rouges, entraînant l’OTAN dans sa dynamique.

    Ce tournant répond à une stratégie de domination par la peur. L’Ukraine devient le théâtre d’une démonstration de puissance face à Poutine, mais aussi à Xi, Modi et Lula. La guerre devient un levier d’hégémonie.

    L’arme économique déchaînée

    Trump frappe aussi économiquement : sanctions inédites contre la Russie, 100 % de taxes, saisie des avoirs souverains, embargo sur gaz et pétrole. Chine, Inde, Brésil sont visés. L’objectif : contraindre la Russie et ses alliés à plier, forcer les hésitants à s’aligner. Trump étend le champ de bataille aux marchés et impose son agenda à l’Europe, qu’il pousse à suivre, malgré ses réticences.

    Escalade ou chaos organisé

    Trump joue la guerre comme un poker brutal. En Iran, ses coups de force ont eu peu d’effets. En Russie, les risques sont bien plus élevés. Poutine résiste, et les représailles pourraient être dévastatrices. Trump impose un chaos stratégique, où l’imprévisibilité devient doctrine. L’Europe, longtemps demandeuse de soutien face à Moscou, se retrouve piégée. Car Trump ne cherche pas la paix : il redessine l’ordre mondial à sa mesure.

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    3 h y 2 m
  • CETTE LUMIÈRE EST PARTOUT ET PEUT RUINER NOTRE SANTÉ : LE DANGER DES LED | GPTV
    Jul 15 2025

    Le 14 juillet 2025, Guillaume Brun était l’invité de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

    Guillaume Brun est lanceur d’alerte et pharmacien. Il dénonce les effets invisibles mais nocifs de la lumière LED sur la santé humaine. À partir de données scientifiques et cliniques, il met en lumière une réalité occultée : troubles neurologiques, fatigue chronique, dérèglements comportementaux, touchant surtout les enfants et les personnes sensibles. Pour lui, la généralisation de cette technologie constitue une menace sanitaire systémique.

    Scintillement invisible, ravages visibles

    Le scintillement imperceptible des LED, ou flicker, agit sur le système nerveux sans être visible à l’œil nu. Les ampoules LED fonctionnent par modulation rapide de courant, générant un clignotement permanent. Ce clignotement provoque une agression neurologique. Des études cliniques relient cette exposition à la fatigue, aux migraines, à l’insomnie et aux troubles de concentration. Les personnes photosensibles, autistes ou les enfants peuvent subir des effets bien plus graves : crises, réactions violentes, voire décompensations neurologiques.

    La généralisation des LED ne serait pas un hasard. Sous couvert d’écologie, l’industrie a imposé une technologie aux effets secondaires connus. Les fabricants ont privilégié des composants bon marché, sans considération sanitaire. L’État, complice ou naïf, a banni les lampes à incandescence, imposé les LED sans débat. Le progrès écologique a ainsi servi d’alibi à une dérive imposée.

    LED, fausse écologie, vraie destruction

    Présentées comme écologiques, les LED ont un impact destructeur sur l’environnement nocturne. Leur lumière bleutée intense perturbe la faune : les insectes attirés meurent en masse, perturbant la chaîne alimentaire. Des études signalent une chute de 50 % des insectes dans les zones éclairées aux LED. Les oiseaux perdent leurs repères, les tortues marines ne retrouvent plus la mer. Même les plantes voient leur cycle modifié. L’écosystème nocturne est profondément désorganisé.

    Ces lumières sont omniprésentes : phares, enseignes, lampadaires, domiciles. Elles envahissent nos vies, exposant même les nourrissons dont le cerveau est encore en développement. Maternités, crèches, hôpitaux sont éclairés aux LED. Les cas de troubles du comportement, du sommeil et du spectre autistique explosent. Une coïncidence ? Non, selon Brun.

    L’État profond à la manœuvre

    L’essor des LED ne relève pas d’un hasard technologique, mais d’une stratégie délibérée. Derrière cette évolution, Guillaume Brun voit l’action de l’État profond, alliance opaque d’intérêts industriels et bureaucratiques. Les études sur la toxicité neurologique des LED datent de vingt ans. Pourtant, elles ont été ignorées ou étouffées.

    Ce déploiement massif servirait un projet plus vaste : créer une population affaiblie, dépendante de soins constants, en proie à des troubles chroniques. La LED devient ainsi un outil de contrôle social et biologique. Pour Brun, il s’agit d’un levier de déstructuration des individus et, in fine, de dépopulation douce, progressive, non déclarée.

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    1 h y 3 m