
ALEXANDRE JUVING-BRUNET DÉVOILE L’ARME POUR RÉSISTER : LE FRANC LIBRE X | GPTV
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Le 16 juillet 2025, Alexandre Juving-Brunet était l’invité de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
Offensive monétaire contre l’euro numérique
Le capitaine Alexandre Juving-Brunet venait de franchir un cap stratégique : le Franc Libre devenait FLX, une crypto-monnaie adossée à l’or, aux métaux précieux et aux terres. Ce geste n’était pas qu’une innovation technique : c’était une déclaration de guerre à l’euro numérique, au contrôle bancaire centralisé et à la dépossession monétaire orchestrée par Bruxelles et la BCE.
Le FLX ne cherchait pas à coexister : il voulait remplacer. Pensé comme une monnaie résistante, indépendante de tout système institutionnel, il se présentait comme une alternative radicale à une société financiarisée. À l’opposé d’un euro numérique programmable et opaque, le FLX promettait une valeur stable, enracinée dans le réel. Juving-Brunet avançait un contre-modèle structuré : refus de la spéculation, impossibilité de vendre en dessous du prix d’achat, émission strictement encadrée. L’objectif : rétablir un pouvoir d’achat sécurisé, à l’écart de la monnaie-dette.
Le socle d’une société parallèle
Le FLX s’inscrivait dans une stratégie globale : bâtir une société alternative affranchie des institutions en place. Juving-Brunet ne prônait pas une réforme, mais un remplacement du système. Dans sa version FLX, le Franc Libre devenait le carburant de cette contre-société, portée par les Comités de Salut du Peuple (CSP) et le parti Le Peuple de France (LPF). Réseaux locaux, monnaie autonome, relais politique : tous les piliers étaient posés.
Chaque citoyen pouvait redevenir acteur économique, sans les banques ni l’État. La communauté s’organisait autour de valeurs comme la souveraineté, l’autonomie, la solidarité. L’économie parallèle se tissait dans les zones rurales, les circuits courts, les petits commerces. Une résistance active, détournant les flux, réinventant les échanges, construisant une légitimité propre. Le FLX devenait ainsi l’outil d’une contre-société en marche.
Une stratégie risquée mais assumée
Sur le plan juridique, Alexandre Juving-Brunet évoluait sur une ligne rouge. Déjà condamné à quatre mois de détention pour l’émission papier du Franc Libre, il relançait son projet avec encore plus d’audace. En optant pour une crypto, il sortait du radar bancaire, mais restait surveillé. Il accusait l’euro d’être un outil d’appauvrissement contrôlé, prédisait son effondrement, et préparait l’après.
L’adossement à l’or n’était pas un simple symbole : c’était une réponse directe à l’inflation, aux manipulations monétaires, à la crise des monnaies fiat. Mais c’était aussi un pari. Hors cadre légal, le FLX risquait d’être attaqué sur les plans judiciaire, économique ou politique. Le système tolère mal les alternatives crédibles. Et celle-ci l’était.
Le FLX se voulait une arme de rupture, maniée par un homme prêt à tout risquer pour refonder la souveraineté populaire. Juving-Brunet n’était pas suicidaire. Il était stratège. Et il avançait.
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