
BAYROU VEUT SUPPRIMER 2 JOURS FÉRIÉS… DONT LUNDI DE PÂQUES ?! | GPTV
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Le 16 juillet 2025, Mike Borowski dévoilait comment François Bayrou orchestre une hausse d’impôts déguisée en supprimant deux jours fériés, tout en préservant les privilèges des élites politiques, des agences inutiles et des niches fiscales des journalistes.
La suppression des jours fériés est une opération de camouflage fiscal
La décision de François Bayrou de supprimer le lundi de Pâques et le 8 mai serait moins une mesure d'efficacité économique qu’un prélèvement fiscal indirect. Supprimer deux jours fériés revient à injecter artificiellement des heures de travail dans l’économie, ce qui augmente le PIB nominal et mécaniquement les recettes de CSG, d’impôt sur le revenu et de cotisations sociales. Sans vote, l’État collecte plus, en silence. Pour les élites, l’opération est indolore ; pour les travailleurs, c’est une perte nette.
Ce choix traduit aussi une volonté de ne pas toucher aux dépenses les plus politisées. Aucun gel ni baisse des rémunérations des députés, sénateurs ou ministres. Pas de réduction des indemnités parlementaires ou des frais de fonctionnement des grandes structures étatiques. Tandis que la population perd deux jours de repos, les élites conservent tous leurs avantages. L’injustice est assumée et verrouillée.
Aucune réforme des agences parasites ni des subventions clientélistes
Le gouvernement n’a pas envisagé de réduction des agences publiques opaques comme l’ARCOM, le CNC ou les Hautes Autorités. Ces structures, souvent perçues comme des refuges pour proches du pouvoir, continuent d’engloutir des millions d’euros sans audit ni restructuration.
Même tabou sur les subventions aux artistes, intermittents du spectacle ou associations culturelles. La niche fiscale journalistique, un abattement de 7 650 euros sur le revenu, demeure. Ce privilège coûteux, sans équivalent pour d’autres professions, est protégé. La presse, soutien essentiel du pouvoir, reste intouchable. Les efforts budgétaires ne concernent que les classes populaires.
Aucune rationalisation du budget migratoire ni des aides internationales
Autre angle mort du plan Bayrou : l’immigration. Aucun ajustement n’est prévu sur les milliards engagés chaque année en hébergement, allocations ou structures d’intégration. Le financement reste massif, sans conditionnalité, plafond ou contrôle. Toute critique est rejetée comme xénophobe, verrouillant le débat.
Même opacité sur les aides au développement. Des milliards continuent d’être envoyés à des régimes corrompus au nom de la solidarité, sans évaluation sérieuse ni transparence. En pleine crise budgétaire, cette persistance idéologique passe pour un choix punitif : sacrifier deux jours fériés nationaux pour préserver un mondialisme coûteux. Le peuple paie, les dogmes restent.
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