Episodios

  • Canine Diluted Coat Alopecia
    May 21 2025

    Canine Diluted Coat Alopecia (CDCA), is a genetic skin condition affecting dogs with diluted coat colors. This podcast explains the genetic basis linked to mutations in the MLPH gene, detailing how these mutations lead to abnormal melanin distribution and fragile hair structures. And it covers the prevalence, predisposed breeds, and the clinical signs, such as progressive hair loss on diluted areas of the body, often accompanied by skin issues. It also outlines the diagnostic process, including clinical examination, hair analysis, and skin biopsies, while discussing the limitations of genetic testing in predicting the severity of the condition due to incomplete penetrance and modifying factors. Finally, it addresses the symptomatic management of CDCA, emphasizing topical treatments and infection control, and highlights the importance of responsible breeding practices to prevent its occurrence.

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    21 m
  • L'alopécie des robes diluées chez le chien
    May 21 2025

    L'Alopécie des robes diluées (ARD), également connue sous le nom d'alopécie des mutants de couleur, est une maladie cutanée héréditaire chez le chien. C'est la dermatose héréditaire la plus couramment diagnostiquée. Elle se manifeste par une perte de poils progressive qui affecte spécifiquement les zones de pelage à pigmentation diluée, comme le bleu ou le fauve (isabelle).

    Sur le plan génétique, l'ARD est une affection à transmission autosomique récessive, principalement associée à des mutations dans le gène MLPH (mélanophiline). Ce gène est essentiel pour le transport des mélanosomes, les organites contenant la mélanine. Pour qu'un chien ait une robe diluée et soit prédisposé à l'ARD, il doit être homozygote récessif (génotype d/d) pour les variants du gène MLPH.

    Les mutations du MLPH perturbent le transport des mélanosomes, entraînant leur accumulation et leur agrégation anormales sous forme de macromélanosomes. Ces grosses structures pigmentaires se retrouvent dans les follicules pileux et les tiges pilaires. Leur présence cause une dysplasie folliculaire, rendant les follicules structurellement anormaux et perturbant leur cycle. Les macromélanosomes rendent également les tiges pilaires fragiles et cassantes, contribuant directement à l'alopécie. Des troubles de la kératinisation, comme l'hyperkératose folliculaire et la desquamation, sont aussi fréquents et peuvent mener à la formation de comédons et à un aspect sec de la peau.

    Les signes cliniques apparaissent généralement entre 4 mois et 3 ans, bien que l'âge d'apparition puisse varier. Les premiers signes sont une mauvaise qualité du pelage (terne, sec, cassant), évoluant vers une alopécie progressive sur le tronc, typiquement le long de la ligne dorsale, sur les flancs et l'abdomen. La tête, les membres et la queue sont souvent épargnés. Une caractéristique distinctive est que seules les zones de couleur diluée sont touchées; les zones de couleur non diluée (comme les marques feu chez un Doberman bleu et feu) restent normales. Des papules, pustules, squames et surtout des pyodermites bactériennes secondaires sont fréquemment observées. Le prurit (démangeaisons) est généralement présent uniquement en cas de pyodermite.

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    8 m
  • Canine Recurrent Flank Alopecia
    May 6 2025

    Canine Recurrent Flank Alopecia (CRFA), also known as seasonal flank alopecia or idiopathic cyclic flank alopecia, is a dermatosis characterized by non-inflammatory hair loss, primarily on the flanks. It is considered a cosmetic issue with no impact on the animal's overall health.

    A marked breed predisposition, particularly in Boxers, strongly suggests an underlying genetic component. The condition typically affects dogs aged 3 to 6 years, with no distinction regarding sex or reproductive status. Its seasonality is a characteristic feature, with alopecia often occurring during months with shorter daylight hours. This phenomenon is observed in both hemispheres, pointing to the role of photoperiod as a significant trigger. However, some cases may be sporadic or become permanent.

    The exact etiology remains unknown. Systemic endocrine causes have been ruled out. The most robust hypothesis involves the photoperiod, with a potential role for melatonin (production of which varies with day length) and prolactin. Insufficient melatonin production or altered follicular sensitivity in genetically predisposed individuals could be implicated. Genetic studies support a complex polygenic basis, involving disturbances in skin homeostasis that render hair follicles sensitive to seasonal variations. Functionally, it is considered a hair cycle arrest.

    Diagnosis is based on clinical signs (non-inflammatory, non-pruritic, bilateral flank alopecia, often with hyperpigmentation) and the exclusion of other causes, such as endocrinopathies. Histopathology of skin biopsies is crucial, typically revealing infundibular hyperkeratosis, atrophic follicles (sometimes described with a "witch's foot" appearance), and a predominance of follicles in the resting phase, although these lesions are not strictly pathognomonic for CRFA.

    The vital prognosis is excellent. The condition's evolution varies: it can manifest as cyclic episodes, a single episode, or permanent alopecia. Spontaneous regrowth is common, though the new coat may differ in quality. Given its benign and often self-resolving nature, therapeutic abstention ("benign neglect") is frequently the preferred approach.

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    21 m
  • L'alopécie récidivante des flancs chez le chien
    May 6 2025

    L'alopécie récidivante des flancs canine (ARFC), également connue sous d'autres noms comme "alopécie saisonnière des flancs", est une dermatose caractérisée par l'apparition d'épisodes d'alopécie (chute de poils) non inflammatoire, principalement localisés sur les flancs. Bien que visuellement marquée, l'ARFC est considérée comme essentiellement cosmétique et n'affecte pas la santé générale ni la qualité de vie de l'animal.

    Cette affection touche de nombreuses races, avec une nette prédisposition raciale, notamment chez le Boxer, le Bulldog Anglais et l'Airedale Terrier, ce qui suggère une composante génétique significative. L'âge d'apparition se situe généralement entre 3 et 6 ans. Il n'y a pas de prédisposition liée au sexe ou au statut reproducteur.

    L'étiologie exacte de l'ARFC reste inconnue. Cependant, la saisonnalité fréquente, où l'alopécie apparaît pendant les mois de jours courts dans les deux hémisphères, pointe fortement vers le rôle de la photopériode comme facteur déclenchant majeur. L'hypothèse principale implique une possible altération de la production ou de la signalisation de la mélatonine et/ou de la prolactine au niveau folliculaire. Des études récentes suggèrent une base génétique polygénique complexe, impliquant des voies métaboliques variées au-delà de la simple régulation hormonale, rendant les follicules potentiellement anormalement sensibles aux déclencheurs saisonniers. Sur le plan fonctionnel, il s'agit d'une anomalie du cycle pilaire, un arrêt du cycle avec une difficulté à initier la phase de croissance (anagène).

    Le diagnostic repose sur une démarche clinique intégrative. Les signes cliniques clés sont une alopécie non inflammatoire et non prurigineuse, typiquement bilatérale sur les flancs, souvent associée à une hyperpigmentation de la peau. Il est crucial d'exclure les diagnostics différentiels, en particulier les endocrinopathies comme l'hypothyroïdie et l'hypercorticisme, ainsi que les causes parasitaires ou infectieuses, par des examens complémentaires (bilans hormonaux, raclages cutanés). L'examen histopathologique de biopsies cutanées est une étape clé pour confirmer la suspicion. L'histologie révèle typiquement une alopécie non inflammatoire avec des anomalies folliculaires caractéristiques : hyperkératose infundibulaire marquée, follicules atrophiques/dysplasiques (aspect en "pied de sorcière"), et une prédominance de follicules en phase de repos (télogène) ou vides (kenogène). Cependant, l'histologie seule n'est pas toujours pathognomonique et doit être corrélée aux autres éléments.

    Le pronostic vital est excellent. L'ARFC est souvent récidivante et cyclique, mais l'évolution est variable. Une repousse spontanée est fréquente, survenant généralement en quelques mois, bien que la qualité et la couleur du poil repoussé soient souvent différentes. L'alopécie peut parfois devenir permanente. En raison de sa nature bénigne et souvent auto-résolutive, l'abstention thérapeutique ("benign neglect") est une option de premier choix.

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    10 m
  • Canine and Feline Zoonotic Skin Diseases
    Mar 20 2025

    Zoonoses encompass diseases or infections transmissible between vertebrate animals and humans, while dermatozoonoses represent a specific subset of these conditions, manifesting as dermatoses in humans. Although relatively rare compared to all zoonoses, these diseases are of crucial importance due to their regular occurrence and their inclusion in many differential diagnoses, both in human and veterinary medicine.

    The agents responsible for these conditions are varied, including fungi, parasites, bacteria, and viruses. In urban environments, pets such as dogs, cats, rodents, and birds are the main vectors of transmission. The populations most at risk include pet owners, animal health professionals, breeders, and anyone in close contact with animals.

    Among specific dermatozoonoses, dermatophytoses, or ringworms, are fungal infections caused by zoophilic dermatophyte fungi, frequently transmitted by cats, often asymptomatic carriers. Scabies, whether sarcoptic, notoedric, or due to Cheyletiella, are highly pruritic parasitic conditions, with variable modes of transmission and clinical manifestations depending on the animal species and the causative agent. Pulicoses, or flea infestations, although not always direct zoonoses, cause hypersensitivity dermatitis in humans.

    Other conditions, such as cutaneous larva migrans, furcocercarial dermatitis, leishmaniasis, cat scratch disease, pasteurellosis, and cowpox virosis, also contribute to the spectrum of dermatozoonoses, each with its specificities in terms of causative agents, modes of transmission, and clinical manifestations.

    Beyond dermatozoonoses, some non-dermatological parasitic zoonoses, such as cystic echinococcosis, visceral and ocular larva migrans, giardiasis, cryptosporidiosis, dirofilariasis, and toxoplasmosis, represent significant public health challenges.

    Transmission of these zoonoses occurs through various modes, including bites, scratches, direct contact, exposure to animal secretions, inhalation, contact with vectors, and exposure to contaminated environments. Prevention relies on rigorous hygiene measures, regular deworming of animals, avoidance of contact with infected animals, and close collaboration between human and animal health professionals.

    Diagnosis of dermatozoonoses involves a combined approach, including medical history, clinical examination, and specific laboratory tests for the suspected pathogen.

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    17 m
  • Les dermatozoonoses du chien et du chat
    Mar 20 2025

    Les zoonoses englobent les maladies ou infections transmissibles entre les animaux vertébrés et l'homme, tandis que les dermatozoonoses représentent un sous-ensemble spécifique de ces affections, se manifestant par des dermatoses chez l'humain. Ces maladies, bien que relativement rares comparées à l'ensemble des zoonoses, revêtent une importance cruciale en raison de leur occurrence régulière et de leur inclusion dans de nombreux diagnostics différentiels, tant en médecine humaine que vétérinaire.

    Les agents responsables de ces affections sont variés, incluant des champignons, des parasites, des bactéries et des virus. En milieu urbain, les animaux de compagnie, tels que les chiens, les chats, les rongeurs et les oiseaux, constituent les principaux vecteurs de transmission. Les populations les plus à risque comprennent les propriétaires d'animaux, les professionnels de la santé animale, les éleveurs et toute personne en contact étroit avec les animaux.

    Parmi les dermatozoonoses spécifiques, les dermatophytoses, ou teignes, sont des infections fongiques causées par des champignons dermatophytes zoophiles, fréquemment transmis par les chats, souvent porteurs asymptomatiques. Les gales, qu'elles soient sarcoptiques, notoédriques ou dues à Cheyletiella, sont des affections parasitaires hautement prurigineuses, avec des modes de transmission et des manifestations cliniques variables selon l'espèce animale et l'agent causal. Les pulicoses, ou infestations par les puces, bien que n'étant pas toujours des zoonoses directes, provoquent des dermatites d'hypersensibilité chez l'homme.

    D'autres affections, telles que les larva migrans cutanées, la dermatose furcocercarienne, la leishmaniose, la maladie des griffes du chat, la pasteurellose et la cowpox virose, contribuent également au spectre des dermatozoonoses, chacune avec ses spécificités en termes d'agents causaux, de modes de transmission et de manifestations cliniques.

    Au-delà des dermatozoonoses, certaines zoonoses parasitaires non dermatologiques, telles que l'échinococcose cystique, les larves migrantes viscérales et oculaires, la giardiase, la cryptosporidiose, les dirofilarioses et la toxoplasmose, représentent des enjeux de santé publique significatifs.

    La transmission de ces zoonoses s'effectue par divers modes, incluant les morsures, les griffures, le contact direct, l'exposition aux sécrétions animales, l'inhalation, le contact avec des vecteurs et l'exposition à des environnements contaminés. La prévention repose sur des mesures d'hygiène rigoureuses, la vermifugation régulière des animaux, l'évitement des contacts avec les animaux infectés et une collaboration étroite entre les professionnels de la santé humaine et animale.

    Le diagnostic des dermatozoonoses implique une approche combinée, incluant l'anamnèse, l'examen clinique et des examens complémentaires spécifiques à l'agent pathogène suspecté.

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    17 m
  • Feline Acne: An Overview of Causes and Management
    Mar 6 2025

    Feline acne is an inflammation of the pilosebaceous follicles, the cutaneous structures where hair grows and sebum is produced. This inflammation most commonly manifests on the chin and lower lip of the cat. It is visually characterized by comedones (blackheads), papules (red bumps), pustules (pus-filled bumps), and, in severe cases, deeper nodules. Although it can affect any cat, certain factors such as the use of plastic bowls, excessive sebum production, stress, allergies, or even anatomical predispositions can contribute to its development. Inadequate hygiene and secondary bacterial infections can exacerbate the lesions.

    The Inflammatory Process in Detail

    Sebum, naturally produced by the sebaceous glands, plays a protective role for the skin and hair. However, when its production is excessive or its drainage is impaired, it accumulates in the hair follicle along with dead skin cells. This mixture forms a plug, the comedo. This enclosed environment becomes conducive to bacterial growth, thereby triggering an inflammatory response. This inflammation initially manifests as blackheads, then progresses to red and purulent papules if bacteria, often Staphylococcus species, proliferate. In severe cases, the inflammation can extend deeper, forming nodules and abscesses.

    Diagnosis: Identifying and Differentiating Feline Acne

    The visible signs of feline acne vary depending on the severity. A mild form is limited to blackheads, while a moderate form presents with red and purulent papules. Severe forms are characterized by nodules, abscesses, crusting, and hair loss. The cat may scratch or rub its chin. It is crucial to differentiate feline acne from other skin problems such as allergies, fungal infections (ringworm), parasitic infestations (mange), or even tumors. The veterinarian relies on clinical examination, observation of the lesions and their location. A skin cytology (cell sample) may also be performed to identify bacteria and inflammation. A bacterial culture can identify the specific bacteria involved and their antibiotic sensitivity. In complex cases, a skin biopsy may be necessary.

    Treatment: A Comprehensive and Adapted Approach

    The goal of treatment is to reduce inflammation, eliminate comedones, treat infections, and improve the cat's comfort. Treatment combines several actions. Hygiene is paramount: replacing plastic bowls with easy-to-clean materials (ceramic, stainless steel) and cleaning the cat's chin daily with a mild, antiseptic product. Topical treatments, such as antiseptic shampoos or lotions (chlorhexidine, benzoyl peroxide) and creams (retinoids, topical antibiotics), are often prescribed. For severe or resistant cases, oral treatments, such as antibiotics or anti-inflammatories, may be necessary. Management of stress and allergies, if identified, is also important.

    Regular follow-up with the veterinarian is essential to adjust treatment and prevent recurrences. Maintaining good hygiene, controlling risk factors, and, if necessary, continuing long-term maintenance treatment are the keys to effectively managing feline acne. Research continues to improve the understanding of this condition and to offer new therapeutic solutions. Good collaboration between the veterinarian and the owner is crucial for the cat's well-being.

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    16 m
  • L'acné féline : Mise au point sur ses causes et sa prise en charge
    Mar 6 2025

    L'acné féline est une inflammation des follicules pilo-sébacés, ces petites structures cutanées où naissent les poils et où est produit le sébum. Cette inflammation se manifeste le plus souvent sur le menton et la lèvre inférieure du chat. Elle se traduit visuellement par des comédons (points noirs), des boutons rouges (papules), des boutons purulents (pustules) et, dans les formes sévères, des nodules plus profonds. Bien qu'elle puisse toucher tous les chats, certains facteurs comme l'utilisation de gamelles en plastique, un excès de sébum, le stress, des allergies ou même des particularités anatomiques peuvent favoriser son apparition. Une hygiène insuffisante et des infections bactériennes secondaires peuvent aggraver les lésions.

    Le Processus Inflammatoire en Détail

    Le sébum, produit naturellement par les glandes sébacées, joue un rôle protecteur pour la peau et le poil. Cependant, lorsque sa production est excessive ou que son élimination est entravée, il s'accumule dans le follicule pileux avec des cellules mortes. Ce mélange forme un bouchon, le comédon. Cet environnement clos devient propice au développement de bactéries, déclenchant ainsi une réaction inflammatoire. Cette inflammation se manifeste d'abord par les points noirs, puis évolue vers des boutons rouges et purulents si les bactéries, souvent des staphylocoques, prolifèrent. Dans les cas graves, l'inflammation peut s'étendre en profondeur, formant des nodules et des abcès.

    Diagnostic : Identifier et Différencier l'Acné Féline

    Les signes visibles de l'acné féline varient selon la gravité. Une forme légère se limite à des points noirs, tandis qu'une forme modérée présente des boutons rouges et purulents. Les formes sévères se caractérisent par des nodules, des abcès, des croûtes et une perte de poils. Le chat peut se gratter ou se frotter le menton. Il est crucial de distinguer l'acné féline d'autres problèmes de peau comme les allergies, les infections fongiques (teigne), les infestations parasitaires (gale) ou même des tumeurs. Le vétérinaire se base sur l'examen clinique, l'observation des lésions et leur localisation. Il peut aussi effectuer une cytologie cutanée (prélèvement de cellules) pour identifier les bactéries et l'inflammation. Une culture bactérienne permet de préciser les bactéries en cause et leur sensibilité aux antibiotiques. Dans les cas complexes, une biopsie cutanée peut être nécessaire.

    Traitement : Une Approche Globale et Adaptée

    L'objectif du traitement est de réduire l'inflammation, d'éliminer les comédons, de traiter les infections et d'améliorer le confort du chat. Le traitement combine plusieurs actions. L'hygiène est primordiale : remplacer les gamelles en plastique par des matériaux faciles à nettoyer (céramique, inox) et nettoyer quotidiennement le menton du chat avec un produit doux et antiseptique. Des traitements locaux, comme des shampooings ou lotions antiseptiques (chlorhexidine, peroxyde de benzoyle) et des crèmes (rétinoïdes, antibiotiques locaux) sont souvent prescrits. Pour les cas sévères ou résistants, des traitements par voie orale, tels que des antibiotiques ou des anti-inflammatoires, peuvent être nécessaires. La gestion du stress et des allergies, si identifiées, est également importante.

    Un suivi régulier avec le vétérinaire est essentiel pour ajuster le traitement et prévenir les récidives. Maintenir une bonne hygiène, contrôler les facteurs de risque et, si besoin, poursuivre un traitement d'entretien à long terme sont les clés pour une gestion efficace de l'acné féline. La recherche continue d'améliorer la compréhension de cette affection et d'offrir de nouvelles solutions thérapeutiques. Une bonne collaboration entre le vétérinaire et le propriétaire est cruciale pour le bien-être du chat.

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    13 m
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