Le Point G!, le podcast des fantasmes sexuels Podcast Por Radio G! arte de portada

Le Point G!, le podcast des fantasmes sexuels

Le Point G!, le podcast des fantasmes sexuels

De: Radio G!
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Podcast déconseillé au moins de 16 ans.

Vous venez de trouver le Point G!, bravo !
Vous allez avoir le plaisir de découvrir les sexualités. Oui "les". Diverses et parfois étonnantes pour les non-initiés, les sexualités n'ont pas de limites, sauf celles du consentement (et de la loi) quand les fantasmes deviennent réalités.

Que vous soyez un homme ou une femme ou que vous ne vouliez pas vous genrer, que vous aimiez les hommes ou les femmes (ou les deux), partagez avec nous vos fantasmes et découvrez ceux de vos voisins !

Envie de témoigner dans l'émission, même anonymement, écrivez-nous !

NB : Nous ne sommes ni médecins ni sexologues ou sexothérapeutes, nous essayons juste de découvrir et de comprendre "les" sexualités à travers les écrits des spécialistes, les statistiques et les sondages ainsi que les témoignages de nos invités.
Pour tout problème affectant votre santé (physique ou comportementale) il est important de consulter des professionnels.

Emission disponible sur Apple podcast, podcast Addict, Amazon Music, Audible, Stitcher.

Radio G!
Ciencias Sociales
Episodios
  • Fantasmer c'est tromper ?
    Jul 4 2025
    Fantasmer sur une autre personne que son partenaire pendant un rapport sexuel est un sujet délicat, souvent entouré de culpabilité ou de tabous. Pourtant ce ne devrait pas être perçu comme une trahison. Cela ne reflète pas nécessairement un manque de désir pour son partenaire actuel, mais plutôt une activité mentale qui peut parfois étonner, voire embarrasser. Mais est-ce tromper ? Attention, spoile… La réponse est "non". Bienvenue dans le point G! Les fantasmes sexuels sont des constructions mentales où l'imagination prend le dessus, et ils sont "essentiels pour l'épanouissement psychologique". Ils permettent de stimuler l'excitation, d’explorer des désirs ou des scénarios qui ne sont pas toujours réalisables ou souhaités dans la réalité. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, avoir des pensées érotiques sur une autre personne pendant un rapport sexuel ne signifie pas que l'on est insatisfait de sa relation ou que l’on cherche à tromper son partenaire. Fantasmer "ne doit pas être pris au sens premier", car cela n’indique pas nécessairement un désir conscient d’être avec une autre personne. C’est une manière d’augmenter ou de maintenir l’excitation pendant l’acte sexuel. Autrement dit, le fantasme est un outil psychique pour entretenir l'élan érotique, souvent utilisé inconsciemment pour enrichir une expérience sensorielle. Il est important de noter que "7 personnes sur 10" admettent fantasmer sur une autre personne pendant un rapport sexuel, selon plusieurs études menées sur la sexualité des couples. Cela peut surprendre, mais ces chiffres montrent que ce phénomène est loin d'être marginal. La plupart des gens ne partagent simplement pas ces pensées, de peur de provoquer de la jalousie ou de l'incompréhension chez leur partenaire. Clara, 32 ans, raconte son expérience : _« Il m’arrive de fantasmer sur quelqu’un d’autre pendant que je fais l’amour avec mon copain. Je ne le fais pas parce que je ne l’aime plus ou parce qu’il ne me plaît plus, c’est juste quelque chose de spontané qui arrive dans mon esprit et qui m’excite davantage. Ça n’enlève rien à mon amour pour lui. »_ Cela montre bien que fantasmer sur quelqu'un d'autre est souvent un simple mécanisme de l'esprit, un « bonus » mental qui n’a rien à voir avec la réalité de la relation ou de l’engagement émotionnel. Les fantasmes permettent à chacun d’explorer des aspects de sa sexualité sans prendre de risques dans la réalité. Ils offrent la possibilité de tester mentalement des scénarios parfois irréalistes ou inaccessibles, sans aucune conséquence. Certaines personnes fantasment sur des situations inusitées, des inconnus, voire des célébrités, simplement parce que cela leur permet de sortir de la routine ou d'expérimenter quelque chose de nouveau, "sans pour autant vouloir franchir le pas dans la réalité". Pierre, 38 ans, partage son point de vue : _« J’adore ma femme, mais il m’arrive de fantasmer sur d’autres femmes. Ça ne veut rien dire sur la qualité de notre relation. Je trouve que ça enrichit même notre sexualité, car ces pensées me rendent plus excité et je redouble d’efforts pour lui faire plaisir. »_ Les témoignages comme celui de Pierre montrent que les fantasmes peuvent non seulement coexister avec une relation heureuse, mais aussi en renforcer la dynamique sexuelle en ravivant le désir. Il est important de comprendre que "les fantasmes sont déconnectés de la réalité". Ils ne sont pas des reflets directs de nos désirs profonds ou de notre volonté d’agir. Le fantasme d’une autre personne ne signifie pas que l’on souhaite être infidèle ou que l'on désire vraiment l'autre personne. C’est une forme d’évasion mentale qui permet à l’esprit d’explorer la diversité des désirs sans jamais les réaliser. Selon une sexologue, les fantasmes reflètent une quête de variété et de nouveauté, mais "ne traduisent pas nécessairement une insatisfaction dans la relation". Elle explique que le fantasme est un espace où l'on peut explorer sans contraintes sociales ni morales. C'est un jeu avec soi-même, un lieu privé de l'imaginaire où tout est permis, sans que cela engage nos actions dans la vie réelle. Doit-on dans ce cas parler de ce fantasme avec son partenaire ? Partager ses fantasmes avec son partenaire est une question délicate et dépend de chaque couple. Pour certains, cela peut renforcer la complicité, créer un espace de liberté et de compréhension mutuelle, et offrir l'opportunité d’explorer de nouveaux terrains ensemble. Mais pour d'autres, cela peut être source de malentendus ou de jalousie. Tout dépend du niveau de communication et de sécurité émotionnelle dans le couple. Sophie, 29 ans, raconte : _« Mon copain m’a dit qu’il fantasmait parfois sur une collègue de travail, et au début, ça m’a blessée. ...
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  • Le Point G! 2 Parler de ses fantasmes
    Jun 2 2025
    Les fantasmes sexuels font partie intégrante de notre vie intérieure. Qu’ils soient réalistes ou complètement imaginaires, ils expriment des désirs conscients ou inconscients qui enrichissent l’univers érotique de chacun. Pendant longtemps, ils ont été entourés de tabous, dissimulés derrière des non-dits, perçus comme des pensées secrètes à ne jamais partager. Mais aujourd'hui, les mentalités évoluent, et pour certains couples, parler de ses fantasmes peut renforcer l’intimité et ouvrir un dialogue sur les désirs. Cependant, cette démarche n'est pas sans risques. La question se pose alors : faut-il en parler à son ou sa partenaire ? Bienvenue dans le point G! Les fantasmes sont des scénarios érotiques qui se jouent dans notre esprit. Ils peuvent être inspirés de situations vécues, de rencontres, ou entièrement construits à partir de l’imaginaire. Ils permettent d'explorer des facettes de notre sexualité sans passer à l'acte et reflètent souvent des besoins ou des envies que nous n'osons pas formuler dans la réalité. Selon une sexologue, le fantasme « est un outil pour comprendre ses désirs et ceux de son partenaire ». Cela peut inclure des scénarios simples, comme l’exploration d’une situation excitante dans un contexte romantique, ou des fantasmes plus complexes, tels que la domination, la soumission, ou encore les relations avec plusieurs partenaires. Ces pensées, loin d’être honteuses, sont des mécanismes psychologiques normaux qui nous permettent de mieux comprendre notre sexualité. Partager ses fantasmes avec son partenaire peut être un moyen d’ouvrir un dialogue plus profond sur la sexualité et de renforcer l’intimité dans le couple. Lorsque la relation est empreinte de confiance, cela peut aider à mieux comprendre les attentes, les envies et les limites de chacun. Camille, 30 ans, témoigne : _« J’ai longtemps gardé mes fantasmes pour moi, mais un jour, j’ai décidé d’en parler à mon copain. J’avais peur de sa réaction, mais il a été super ouvert et m’a aussi raconté les siens. Ça nous a permis de mieux nous comprendre et de voir où étaient nos désirs communs. »_ Cette transparence peut aussi ouvrir la voie à de nouvelles expériences partagées. Lorsqu'un fantasme trouve un écho chez l’autre, cela peut amener à l’explorer ensemble, soit à travers le dialogue, soit en recréant certains aspects dans la réalité. Si partager ses fantasmes peut être bénéfique, il est essentiel de comprendre que tous les fantasmes ne sont pas destinés à être réalisés. Certains fantasmes sont purement mentaux et peuvent perdre de leur charme s’ils sont mis en œuvre dans la réalité. Parfois, ce qui est excitant en pensée peut s’avérer déroutant, inconfortable, voire rebutant lorsque transposé dans le monde réel. Marie, 35 ans, a tenté de réaliser l’un de ses fantasmes avec son partenaire, mais l’expérience n’a pas été à la hauteur de son imaginaire : _« J’ai toujours fantasmé sur un jeu de rôle avec domination, et on a essayé de le faire. Mais dans la réalité, ça ne fonctionnait pas du tout. J’étais mal à l’aise, et lui aussi. C’est là que j’ai compris que certains fantasmes sont faits pour rester dans notre tête. »_ Une sexologue met en garde contre cette confusion entre fantasme et réalité. « Un fantasme peut être excitant, mais il peut parfois devenir rebutant si l'on cherche à le mettre en œuvre dans le monde réel », explique-t-elle. Certains scénarios sont nourris par le mystère et l’interdit, et leur transposition dans la réalité peut altérer la dynamique du couple, surtout si l’un des partenaires n’y trouve pas son compte. Mais alors, faut-il vraiment Tout Dire ? La question de savoir s’il faut partager ou non ses fantasmes dépend de plusieurs facteurs, notamment le degré de confiance et de communication dans le couple. Si certains couples trouvent que cette démarche renforce leur lien, d’autres préfèrent garder une partie de leurs pensées érotiques pour eux-mêmes. D’un côté, parler de ses fantasmes peut susciter une plus grande complicité. Cela permet de lever les tabous autour de la sexualité et d'ouvrir une porte sur des aspects méconnus du désir de l’autre. Mais cela peut aussi être source de malaise, surtout si les fantasmes en question révèlent des facettes surprenantes ou inattendues de la personnalité de son partenaire. C’est ce qu’a découvert Claire, 29 ans, après avoir écouté les fantasmes de son conjoint : _« Je voulais qu’on se parle de nos fantasmes pour être plus proches, mais quand il m’a raconté les siens, j’ai été choquée. C’était des choses auxquelles je n’aurais jamais pensé, et ça m’a fait douter sur notre compatibilité. »_ Parler de ses fantasmes est un acte d’ouverture, mais cela implique aussi d’être prêt(e) à ...
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  • Le Point G! 2 Un homme, deux femmes
    May 20 2025
    "Le Fantasme Masculin de Regarder Deux Femmes Faire l'Amour : Entre Érotisme et Illusion de Contrôle" Le fantasme de regarder deux femmes faire l'amour est l’un des plus répandus chez les hommes, avec près de 49 % d'entre eux qui admettent en fantasmer, selon diverses études. Bienvenue dans le point G! Ce fantasme de voir des femmes faire l’amour entre elles, souvent exacerbé par la consommation de pornographie, repose sur des dynamiques psychologiques profondes liées à l'érotisme, au voyeurisme et à une certaine forme de pouvoir ou de privilège ressenti. Mais pourquoi ce fantasme est-il si omniprésent, et que révèle-t-il sur les représentations masculines de la sexualité et de l'intimité ? L'une des principales raisons de ce fantasme est l'attrait pour la beauté du corps féminin. Dans de nombreuses cultures, la sensualité féminine est exaltée comme un objet de désir, et la vision de deux corps féminins entrelacés peut représenter, pour certains hommes, la quintessence de l’érotisme. Ce désir est souvent fondé sur une double fascination : la découverte d'une forme de sensualité perçue comme « inaccessible » dans les relations hétérosexuelles et l’idée que les femmes peuvent comprendre intuitivement les désirs et besoins de leurs partenaires féminines. Sébastien, 34 ans, raconte : _« Voir deux femmes ensemble me fascine. Il y a une douceur et une sensualité que l'on ne retrouve pas dans une relation hétéro. C’est une forme de beauté qui m’échappe en tant qu’homme, et cela rend l’expérience encore plus captivante. »_ Ce type de fantasme met en lumière l’objectivation du corps féminin et l’idéalisation de l'intimité entre deux femmes comme une sorte de paradis érotique. Il est aussi associé à l'idée que le plaisir entre deux femmes est plus raffiné, plus sensuel, en opposition avec les rapports sexuels souvent perçus comme plus "brutaux" ou directs avec un homme. Pour beaucoup d’hommes, le fait d’assister à une scène intime entre deux femmes est perçu comme un privilège. Cette idée s'enracine dans le voyeurisme, un autre grand thème de la sexualité masculine. Regarder sans participer leur donne une sensation de pouvoir et de contrôle. En restant en retrait, ils peuvent se sentir comme des témoins d’une forme de sexualité jugée « exclusive », renforçant ainsi un sentiment d'exclusivité ou d'être « autorisé » à voir quelque chose de caché. La pornographie joue ici un rôle central. En effet, les hommes amateurs de vidéos pornographiques lesbiennes trouvent dans ces films un écho à leurs fantasmes. Le virtuel devient un tremplin pour imaginer, puis désirer vivre cette scène érotique dans la réalité. D'après Thomas, 29 ans : _« Quand je regarde des vidéos de deux femmes ensemble, c’est excitant parce que ça semble plus authentique. On n’a pas cette dynamique de domination qui peut exister dans les films hétéros. J’aime l’idée d’être spectateur et non acteur, juste de profiter du spectacle. »_ La culture pornographique a largement contribué à la diffusion de ce fantasme. Les scènes de sexe entre femmes sont omniprésentes dans les films pour adultes, souvent conçues pour plaire à un public masculin. Cependant, ces représentations sont loin d’être fidèles à la réalité des relations lesbiennes, car elles répondent à des fantasmes masculins hétérosexuels. La scénarisation de la pornographie lesbienne pour les hommes repose souvent sur une esthétisation de la sexualité féminine qui cadre avec les désirs masculins. Les gestes sont exagérés, les corps standardisés et les pratiques sont souvent éloignées des réalités des relations lesbiennes. Ce fossé entre réalité et fantasme peut fausser la perception de ce type de rapport pour les hommes hétérosexuels. Bien que ce fantasme soit fréquent, peu d’hommes le réalisent dans la réalité. Pour certains, la possibilité d’assister à une telle scène dans un contexte non pornographique est une rareté. Et même si cela arrive, la réaction émotionnelle peut différer du fantasme originel. Regarder un acte sexuel en personne peut créer un sentiment de gêne ou d’inconfort, car il confronte à la réalité de l’intimité entre deux êtres humains, qui est souvent bien plus complexe et moins idéalisée que ce que l’on imagine. Marie, 32 ans, raconte l'expérience d'un de ses anciens partenaires : _« Mon copain de l’époque voulait vraiment que je sois avec une autre femme pendant qu’il regardait. Ça m’intriguait aussi, alors on a essayé. Mais une fois que ça a commencé, il est devenu mal à l’aise et n’a pas du tout apprécié. C’était comme si la réalité l’avait frappé et qu’il réalisait que ce n’était pas ce qu’il s’imaginait. »_ Cette différence entre fantasme et réalité est un élément clé à comprendre. Ce qui excite mentalement peut, dans la...
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